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La motivation
Citation de Infinitum le 25 mai 2025, 11h24Essai, 1er msg pour ma 2nde inscription.
Pour moi, la motivation est un concept très élastique :
- avoir envie de quelque chose ne suffit pas en soi
- avoir la santé pour que la motivation fasse bouger ne suffit pas non plus
- est-ce que la motivation oblige à un résultat (action de faire, marcher, travailler, …) ? Non : je peux être « motivé » (avoir un motif de …) sans forcément le faire pour des raisons +/- valides et/ou respectables
- en faut-il une assez grande quantité pour agir et faut-il avoir agi pour se dire « motivé » ? Non
- est-ce une question d’inspiration, est-ce synonyme ? Parfois
Ce que je crois complexe à définir c’est aussi la volatilité : je peux me sentir motivé pendant 1h et tout perdre en 3 secondes ¼.
C’est fragile la motivation. Les « têtes de pioche » sont sûrement plus robustes et plus endurants, puisque parfois c’est une vision du monde égocentrée qui les motive (à écraser les autres).
Cela dit, je préfère perdre ma motivation de temps à autre qu’être la « tête de pioche locale ». Comme quoi on peut ne pas être motivé d’avoir de la motivation, ce qui rend la définition plus élastique et ça devient le syndrome de la poule et de l’oeuf 😁
My 2 cents, je me tourne vers mon atelier pour le reste de la journée …
Essai, 1er msg pour ma 2nde inscription.
Pour moi, la motivation est un concept très élastique :
- avoir envie de quelque chose ne suffit pas en soi
- avoir la santé pour que la motivation fasse bouger ne suffit pas non plus
- est-ce que la motivation oblige à un résultat (action de faire, marcher, travailler, …) ? Non : je peux être « motivé » (avoir un motif de …) sans forcément le faire pour des raisons +/- valides et/ou respectables
- en faut-il une assez grande quantité pour agir et faut-il avoir agi pour se dire « motivé » ? Non
- est-ce une question d’inspiration, est-ce synonyme ? Parfois
Ce que je crois complexe à définir c’est aussi la volatilité : je peux me sentir motivé pendant 1h et tout perdre en 3 secondes ¼.
C’est fragile la motivation. Les « têtes de pioche » sont sûrement plus robustes et plus endurants, puisque parfois c’est une vision du monde égocentrée qui les motive (à écraser les autres).
Cela dit, je préfère perdre ma motivation de temps à autre qu’être la « tête de pioche locale ». Comme quoi on peut ne pas être motivé d’avoir de la motivation, ce qui rend la définition plus élastique et ça devient le syndrome de la poule et de l’oeuf 😁
My 2 cents, je me tourne vers mon atelier pour le reste de la journée …
Citation de Mary le 28 mai 2025, 6h34Bonjour Infinitum, 😊
J’adorerais débattre sur les idées se trouvant dans ton message, mais je suis à la bourre / pressée par mes obligations.
Je m’arrêterai juste sur ton premier point « avoir envie de quelque chose ne suffit pas en soi »
A mon avis, c’est une question de niveau de cette « envie ». Si elle est au niveau 1 (un), alors elle est si faible qu’elle ne réussit pas à pousser la personne à bouger. Autrement dit, on a besoin d’une envie de haut niveau, pour qu’elle devienne un moteur puissant et en mesure de pousser la personne à agir.
Mais c’est vrai, l’envie à elle seule ne suffit pas. Elle doit rencontrer une des exigences primordiales d’un objectif (il doit être réel et réalisable). Si l’objectif poursuivi n’est ni réel ni réalisable, l’envie de la personne ne suffit pas. Exemple : avoir 75 ans, être en mauvaise santé, manquer de moyens … et avoir très très très forte envie d’arriver réellement sur la Lune. 😊
Je suppose que la personne se contentera de rêver, regarder des vidéos sur Internet, jouer avec l’AI, sans passer à l’action, car dans une proportion de 99%, cet objectif est irréalisable.Une bonne journée à toi,
Mary
Bonjour Infinitum, 😊
J’adorerais débattre sur les idées se trouvant dans ton message, mais je suis à la bourre / pressée par mes obligations.
Je m’arrêterai juste sur ton premier point « avoir envie de quelque chose ne suffit pas en soi »
A mon avis, c’est une question de niveau de cette « envie ». Si elle est au niveau 1 (un), alors elle est si faible qu’elle ne réussit pas à pousser la personne à bouger. Autrement dit, on a besoin d’une envie de haut niveau, pour qu’elle devienne un moteur puissant et en mesure de pousser la personne à agir.
Mais c’est vrai, l’envie à elle seule ne suffit pas. Elle doit rencontrer une des exigences primordiales d’un objectif (il doit être réel et réalisable). Si l’objectif poursuivi n’est ni réel ni réalisable, l’envie de la personne ne suffit pas. Exemple : avoir 75 ans, être en mauvaise santé, manquer de moyens … et avoir très très très forte envie d’arriver réellement sur la Lune. 😊
Je suppose que la personne se contentera de rêver, regarder des vidéos sur Internet, jouer avec l’AI, sans passer à l’action, car dans une proportion de 99%, cet objectif est irréalisable.
Une bonne journée à toi,
Mary
Citation de Infinitum le 1 juin 2025, 19h54Très vrai, Mary, et la motivation est un débat en soi et c’est très fragile … Exemple de ce dimanche de novembre … euh de juin (youpi, au moins il n’a pas neigé !)
Contexte de mon dimanche :
– (pour les nouveaux s’il y en a) pour que vous le sachiasses … euh, le sussiez ? … pour le faire savoir aux nouveaux (je dois réviser mes conjugaisons), après mon 1er burn-out (2016), je me suis reconstruit un équilibre mental en collant des maquettes ;
– ce n’est pas venu tout seul, c’est une psychologue qui m’a aiguillé vers quelque chose qui me procurait du plaisir, et entre mes 11 et 21 ans, j’en ai collé quelques-unes (des maquettes, pas des claques 😉) ;
– pour les moins habitués, ce sont des modèles à coller puis à peindre pour (tenter de) en tirer un résultat qui ressemble à quelque chose (avion, tank, moto, figurine, scène complète, etc.)
– j’ai des ennuis de santé depuis 3-4 ans qui apparemment ne se guérissent pas avec de la physio et devront peut-être requérir de la médecine ; et qui me frustrent si je ne peux plus maquetter comme avant (j’ai 200-300 ans de collages à faire, donc c’est pas le temps d’être en panne dès 2025 😄)Hobby très populaire dans les années 70 à 2000, mais ça revient : les ados d’alors profitent de la retraite (ou une 40aine parentale moins chargée) pour travailler motricité fine, créativité loin des écrans, mental, documentation, etc.
Donc en ce beau 1er novembre … euh 1er juin, j’ai sorti une boîte de ma pile, mes couteaux, mes pinces, mes limes, etc.
Et, patatras !, ma motivation a fondu comme neige au soleil :
– si j’adore la marque ukrainienne Miniart, j’oublie parfois que ce ne sont pas des maquettes pour débutant
– cet exemplaire-ci est mal fabriqué vs les autres modèles de la marque
– Miniart est réputée pour faire plein de pièces minuscules et cassantes … j’ai cru pendant 2h que ce kit-ci serait aussi facile qu’un puzzle « medium » qui serait à peindre plus tard.Suite dans un billet dédié, avec photos, qui ira peut-être plus loin (selon le retour de ma motivation hors job et autres facteurs de burn-out) … est-ce 2016 qui recommence ? Maybe …
Sur ce, bonne semaine !
Très vrai, Mary, et la motivation est un débat en soi et c’est très fragile … Exemple de ce dimanche de novembre … euh de juin (youpi, au moins il n’a pas neigé !)
Contexte de mon dimanche :
– (pour les nouveaux s’il y en a) pour que vous le sachiasses … euh, le sussiez ? … pour le faire savoir aux nouveaux (je dois réviser mes conjugaisons), après mon 1er burn-out (2016), je me suis reconstruit un équilibre mental en collant des maquettes ;
– ce n’est pas venu tout seul, c’est une psychologue qui m’a aiguillé vers quelque chose qui me procurait du plaisir, et entre mes 11 et 21 ans, j’en ai collé quelques-unes (des maquettes, pas des claques 😉) ;
– pour les moins habitués, ce sont des modèles à coller puis à peindre pour (tenter de) en tirer un résultat qui ressemble à quelque chose (avion, tank, moto, figurine, scène complète, etc.)
– j’ai des ennuis de santé depuis 3-4 ans qui apparemment ne se guérissent pas avec de la physio et devront peut-être requérir de la médecine ; et qui me frustrent si je ne peux plus maquetter comme avant (j’ai 200-300 ans de collages à faire, donc c’est pas le temps d’être en panne dès 2025 😄)
Hobby très populaire dans les années 70 à 2000, mais ça revient : les ados d’alors profitent de la retraite (ou une 40aine parentale moins chargée) pour travailler motricité fine, créativité loin des écrans, mental, documentation, etc.
Donc en ce beau 1er novembre … euh 1er juin, j’ai sorti une boîte de ma pile, mes couteaux, mes pinces, mes limes, etc.
Et, patatras !, ma motivation a fondu comme neige au soleil :
– si j’adore la marque ukrainienne Miniart, j’oublie parfois que ce ne sont pas des maquettes pour débutant
– cet exemplaire-ci est mal fabriqué vs les autres modèles de la marque
– Miniart est réputée pour faire plein de pièces minuscules et cassantes … j’ai cru pendant 2h que ce kit-ci serait aussi facile qu’un puzzle « medium » qui serait à peindre plus tard.
Suite dans un billet dédié, avec photos, qui ira peut-être plus loin (selon le retour de ma motivation hors job et autres facteurs de burn-out) … est-ce 2016 qui recommence ? Maybe …
Sur ce, bonne semaine !
Citation de Pierre le 1 juin 2025, 20h25J’ai mis un pouce en l’air sauf pour l’idée de la dépression. Je sooors peut être actuellement de mon pire passage à vide depuis 2010. J’ai vu un psychiatre vendredi qui a confirmé que je n’avais pas vécu cet hiver un épisode dépressif. Pas mentalement assez amorti. Ouf. Je suis dû pour apprendre à gérer le stress et ma santé.
J’ai mis un pouce en l’air sauf pour l’idée de la dépression. Je sooors peut être actuellement de mon pire passage à vide depuis 2010. J’ai vu un psychiatre vendredi qui a confirmé que je n’avais pas vécu cet hiver un épisode dépressif. Pas mentalement assez amorti. Ouf. Je suis dû pour apprendre à gérer le stress et ma santé.
