Mois : avril 2025

  • Par où allons-nous avec le site?

    On avance

    À l’aide des mots et de la volonté

    C’est subjectif ce que j’en pense. Je considère les mots comme des indicateurs de pensées et des porteurs de sens. Parfois un mot suscite une pensée. Ce jour-là! Le lendemain ce même mot en inspire plusieurs.

    Certains mots possèdent, par suite de l’évolution de leurs utilisations par les individus et sur le plan historique, une multitude de sens.

    Ce que veut dire un mot dépend du contexte de son utilisation.

    Prof de français de ma jeunesse

    Le contexte donc. Un mot utilisé dans mille contextes, historiquement, il est possible de croire qu’on peut facilement être troublé de le lire dans un contexte tel une phrase qu’on n’a jamais lue. On ne saisit pas toujours précisément le bon sens à donner à tel mot en le lisant dans une nouvelle phrase.

    Quand je m’en rends compte, au lieu de garder le mot à sens multiples en espérant que LE sens que JE lui donne soit capté instantanément par la personne qui lit, je préfère souvent renommer autrement LE SENS QUE JE VEUX SUGGÉRER avec d’autres mots.

    😳

    Mes choix de mots pour le site

    Le mot VOIX indique une envie de dire et de communiquer. L’acceptation que chaque mot possède une ou plusieurs significations et qu’ILS parlent. Et que nous pouvons nous aussi parler à travers eux. En apprenant d’eux.

    À qui donc s’adresse ce site?

    À toutes les personnes qui aiment se fortifier pour mieux vivre. Aux gens qui ne veulent pas se laisser abattre par les problèmes liés à la dépression, au stress ou à l’anxiété.

    À celles et ceux qui s’intéressent aux loisirs créatifs parce qu’ils ont expérimenter leur efficacité dans le contrôle du stress et de l’anxiété.

    Aux explorateurs et exploratrices de la pensée constructive.

    Aux gens qui aiment écrire pour s’en sortir.

    À tout le monde donc.
    😁

    Et le mot autothérapie?

    Ce mot réfère à l’univers médical, à la maladie et j’y vois une allusion à l’auto-traitement. Se soigner soi-même.

    Loisir dans le sens d’activité non obligatoire. Plaisir, détente, légèreté.

    Créatif dans tous ses sens donc y’en a long à dire.

    Autothérapie, associé aux deux mots qui précèdent signifie moyen de lutte personnel, voir de guérison, contre certains maux et je cible particulièrement le stress et l’anxiété.

    Il y a autres choses que l’écriture comme loisirs créatifs

    C’est le temps d’en parler.
    Intuitivement vous listeriez quoi s’il fallait tous les nommer?
    Il y en a une quasi infinité.

    Une réalité troublante avec ça c’est qu’une personne pratique une activité une telle comme travail et une autre personne pratique la même activité comme loisir.

    Une autre réalité à considérer c’est la présence ou la quasi absence de la créativité durant l’activité de loisir.

    L’équation finale c’est que plus le cerveau est sollicité par la créativité et/ou plus il est concentré sur une tâche, moins il ressent le stress et l’anxiété.

    Voilà par où tout mon projet s’en va.
    Promouvoir la pratique des loisirs créatifs comme activité régulière pour aller mieux.

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  • Qu’est-ce que j’aime tant, que je veuille partager?

    .

    Je réponds que c’est l’apaisement quasi instantané que je ressens quand je suis en plein processus créatif durant une séance de loisir. Le fait qu’il y ait une diminution significative (massive) du stress et de l’anxiété.

    Est-ce une technique? Une méthode? Une philosophie? Une approche holistique? Non. Rien de mystérieux. Les résultats bénéfiques viennent tout seul. Marcher plus vite fait pomper le coeur plus vite. C’est tout.

    C’est en être conscient qui compte

    C’est un sujet qui me passionne depuis toujours la pratique des choses qui fortifient. Je me suis adonné à des sports qui réclamaient des milliers de gestes répétififs et plus ou moins précis. Cela me fortifia et m’apaisait durant mes séances d’entrainement. Ce que j’ai appris ici, je l’ai utilisé là.

    Je m’amuse à décortiquer ce que je vis pour en comprendre l’essence. Est-ce des illusions qui s’empilent ou bien je défini le néant? Du néant?

    L’inconnu c’est le néant pour moi en cet instant. Ce que j’éclaire de l’autre côté de la noirceur devient perceptible surtout par l’écriture. Et la pratique de n’importe quel médium artistique mène à cette limite du connu, de l’inconnu, du néant. Fréquenter ces espaces me fait du bien. Est-ce semblable pour vous?

    Je me sens comme un explorateur qui prends des notes.

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  • Une influence bénéfique

    Les courts d’Arts Plastiques que j’ai fréquentés il y a 50 ans ont-ils réellement participés à développer en moi la fibre créative? Oui! C’est évident pour moi.

    Deux influences qui me servent encore

    J’ai entendu cent fois la voix de ma mère qui disait non: c’est pas comme ça qu’on dessine un nez ou un œil ou un arbre. Au contraire de cette approche dévalorisante, mes deux professeurs d’Arts Plastiques jugeaient nos démarches et nos maîtrises des gestes et non pas nos réalisations sur des notions abstraites et personnelles sur l’esthétisme.

    Elles avaient avec nous des échanges sur les différences entre résultats et démarches. L’objectif n’était pas de dessiner une œuvre esthétique selon elles mais plutôt une œuvre expressive. D’avoir du fun à le faire. La démarche faisait plus de sens que le résultat. Être dans un processus créatif me semblait important à l’époque même si je ne fabriquais rien et ne participais presque pas sur le plan physique. On créait au niveau de la pensée et c’était mon cours scolaire préféré. J’ai échoué mes cours au niveau des notes.

    On va où avec ça?

    Créer des petites choses dans nos séances, des choses qui n’existaient pas avant.

    Colorier ça compte

    Tracer UNE seule marque de quelque façon que ce soit ça compte. Une feuille vierge, un crayon puis un geste qui laisse une trace c’est l’ultime acte créatif de base. Pensons à ce qu’il a fallu de gestes pour que l’être humain puisse écrire. Marquer des quantités dans la terre pour compter. Calligraphier un texte. Et maintenant colorier. Il n’est pas suggéré de banaliser le truc mais de le sacraliser à la limite. Nous sommes les héritiers- héritières d’un long cheminement.

    Nous connecter sur l’origine

    Chaque geste que nous allons dorénavant poser durant cette session-ci de création, considérons le comme LE geste original. Le premier. En plus, amusons-nous à le faire avec justesse. Toute une nouvelle attitude se révélera de geste en geste surtout dans la répétition et notre quête personnelle du geste juste.

    Le meilleur « exercice » de quête à ce niveau primordial c’est le coloriage. Et si nous utilisons des crayons de différentes couleurs et bien nos yeux transmettrons quelques choses à notre esprit et ce ne sera pas banal.

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  • Mon carré de sable

    Influence ou absolue réalité

    Puis-je essayer d’apprendre à vivre en dehors du moule? Pour plusieurs d’entre nous on préfère regarder des acteurs faire semblant de vivre des vies imaginaires plutôt que d’essayer d’imaginer nos vies à nous qui sont bien plus réelles.

    Pourrions-nous survivre en dehors des routines boulot-ciné-dodo que nous inculque notre société? Je sais, il faut avoir de l’imagination pour s’imaginer vivre ainsi.

    La vie sans pub?

    J’ai survécu à six années de dépression chronique. C’est long. Le temps, les tâches et responsabilités, les obligations perdent leurs importances. C’est très très froid et sombre comme style de vie quotidienne. Surtout sans télé.

    En sortant de , j’ai réappris à vivre loin des obligations du travail. Mettons que depuis ma mise à la retraite (déjà vieux et fini à 60 ans) j’ai accepter de continuer à vivre avec des limitations que je ne savais pas possibles.

    Une réalité

    Je suis enthousiaste la plupart du temps depuis les cinq dernières années, enthousiaste à passer la journée en vie. Aussi basique que ça. J’ai accepté le type de force que je peux mobiliser. J’endure de vivre à l’intérieur de mes limitations. Oui oui, le carrée de sable est petit. Je fais avec. Ça m’amène à décider ce qui fait du sens versus ce qui n’en fait plus.

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  • La créativité est-ce le fun?

    La fonction de création est organique dans le sens où différentes zones de l’être humain sont activées durant un processus créatif quelconque. Et ressentir les énergies circuler en soi durant un processus créatif, oui c’est l’fun.

    On capte tout, en simultané. Ok, pas tout absolument tout mais on capte beaucoup de choses en simultané. De la force, de la confiance, une augmentation de notre valeur et une quasi absence de l’anxiété. Voir zéro stress. Notre esprit est vif et occupé, il participe à réaliser un truc jusqu’alors inconnu et ses ressources y sont centralisées.

    Je pense qu’un individu en plein processus créatif est concentré sur ses tâches, ce qui le rendrait moins réceptif aux énergies latentes comme la peur, le stress et l’anxiété. Durant mes séances, ce genre de forces ne se manifeste que très faiblement en moi depuis une dizaine d’années que je pratique. Ce sont des énergies qui s’apaisent pendant qu’on est simplement occupé.e.

    Notez que pour moi, les bénéfices intérieurs suite à une session de loisirs créatifs dure dans le temps. Est-ce aussi comme ça pour vous?

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