J’ai la chance infinie d’être né avant la frénésie des technologies informatiques, en l’an 1960 du siècle dernier. Ayant toujours vécu dans l’intensité, j’ai capté pas mal de choses que je n’arrive pas encore à expliquer.
J’avais 25 ans et j’étais père de trois enfants quand j’ai commencé à m’intéresser aux significations des mots de la langue française. La résonance des significations entre les synonymes m’a enseigné l’univers de la subtilité intellectuelle. J’écris pas mal tous les jours depuis cette époque et souvent dans des cahiers spiralés. J’aime calligraphier. J’essaye de nommer des expériences, des ressentis, des idées vagues, des rêves errants mais surtout, l’essence de ma réalité.
Depuis une dizaine d’années environ, je préserve mon moral comme le bien mortel le plus précieux. Même quand j’ai la fièvre et que mon corps ou mon cœur souffrent, si mon moral est bon je suis ok.
Pourquoi créer un site web?
Au plus proche du temps présent, c’est pour m’entourer de gens sympathiques qui m’apporteront une présence inspirante dans le but de me garder motivé dans ma pratique quotidienne du loisir créatif. Je suis un peu tanné de l’hyper solitude de cette période-ci de ma vie.
Je fais avec mais si on peut faire mieux pourquoi pas le tenter?
Pour qui créer ce site?
Pour toutes les personnes en quêtes d’un moyen, d’une méthode ou d’une façon de faire barrage au stress et à l’anxiété qui nous affectent pas mal plus que nécessaire dans notre vie.
Je veux et je vais promouvoir ce qui fonctionne pour moi en étant disponible pour apprendre d’autres façons de gérer le stress et l’anxiété que celles que j’utilise déjà.
Ah, qui suis-je?
Quelqu’un qui se penche pour ramasser les cœurs tombés en essayant de ne pas tomber moi-même.
Un aidant naturel, un disciple temporaire ou une oreille attentive, quelqu’un qui ne se laisse pas faire. Un créatif de la survie en milieu plus ou moins hostile.
Un méditatif, un poète dans l’âme, un explorateur, un pantouflard, en fait un gars ben ordinaire. Un amalgame de la somme de mon vécu multiplié par la volonté souvent imaginaire qui m’a permise de supporter l’intolérable.
Moins le temps qu’il me reste à vivre.
